Graphique ou tableau financiers

Mise à jour sur les marchés bousiers

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Neil Linsdell, chef de la stratégie d’investissement, se joint à Chris Cooksey afin de discuter des marchés boursiers. Ils abordent, entre autres, les sujets suivants :

  • Les faits saillants du T2
  • La baisse des taux d’intérêt
  • Les différences entre les marchés américain et canadien
  • Doit-on s’attendre à une récession?
  • Les problèmes liés au marché immobilier

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Transcript

Chris Cooksey : Bienvenue à L’investisseur avantagé, un balado de Raymond James Limitée qui offre une perspective aux investisseurs canadiens qui veulent rester informés et concentrés sur le succès à long terme. Nous sommes le 3 mai 2024, je suis Chris Cooksey du service de communication et de marketing de Raymond James, et aujourd’hui, Neil Linsdell, responsable de la stratégie d’investissement, revient participer au balado.

Bon retour à L’investisseur avantagé, Neil. J’espère que vous allez bien aujourd’hui.

Neil Linsdell : Oui. Excellent. Merci de m’accueillir à nouveau.

Chris Cooksey : Merci. La dernière fois que vous nous avez rendu visite, c’était en janvier, et nous avons récapitulé l’année 2023, si les gens veulent réécouter cet épisode et découvrir ce que nous disions à l’époque. Je crois que nous avons parlé de l’inflation et de sa tendance à revenir vers le niveau souhaité, autour de 2 %. Je pense que nous disions qu’il y avait des gens qui s’attendaient à cinq ou six baisses de taux aux États-Unis. Janvier n’est pas si loin, mais je pense que les choses ont changé depuis. Vous avez récemment publié votre mise à jour pour le deuxième trimestre, alors pourquoi ne pas en présenter les grandes lignes?

Neil Linsdell : Bien sûr. Vous avez raison. Les attentes en matière de taux d’intérêt ont beaucoup évolué aux États-Unis, mais au Canada, nous suivons assez bien la tendance que nous avions prévue. Nous pouvons donc examiner certaines de ces divergences. Nous avons publié notre mise à jour du deuxième trimestre il y a quelques semaines, et les principales conclusions sont que nous prévoyons toujours un ralentissement de la croissance du PIB au Canada et aux États-Unis, ainsi que des réductions des taux d’intérêt de part et d’autre de la frontière. Sur le plan économique, l’année a relativement bien commencé au Canada, mais le mois de février a été un peu plus faible que les prévisions consensuelles, et l’estimation rapide pour des points marqués indique un ralentissement dans l’élan avant le deuxième trimestre. La Banque du Canada a récemment revu à la hausse ses prévisions de croissance du PIB pour l’année 2024, à 1,5 %, par rapport à 0,8 % en janvier. L’optimisme est donc de plus en plus grand. Mais nous nous attendons toujours à une récession cette année, probablement au cours du second semestre. Cela pourrait cependant dépendre de la rapidité avec laquelle la banque abaisse les taux d’intérêt. Quand je parle de récession, il s’agit encore d’une récession légère. Si la contraction du PIB est modeste, faut-il s’attendre à une nouvelle augmentation du taux de chômage? Rien de dramatique. Mais nous restons attentifs à ces taux d’intérêt élevés, qui exercent une pression sur les consommateurs et qui continuent à se répercuter sur l’économie avec ces décalages notoires.

Chris Cooksey : J’imagine que cela pèse également sur les entreprises, et je suppose que c’est la raison pour laquelle vous vous attendez à ce que le taux de chômage soit affecté.

Neil Linsdell : Oui, exactement. Les entreprises sont donc de plus en plus prudentes avec leurs revenus. Alors que la population du Canada augmente de façon spectaculaire, la croissance de l’emploi ne suit pas le même rythme. En fait, si nous examinons le dernier sondage sur les perspectives d’affaires, nous constatons que les préoccupations concernant les ventes sont en fait celles qui augmentent le plus rapidement parmi les entreprises, alors que des questions telles que les pénuries de main-d’œuvre, la chaîne d’approvisionnement, les pressions sur les coûts, dont nous avons déjà parlé, sont toutes en baisse. Le marché du travail n’est plus aussi tendu qu’il l’était et le taux de chômage au Canada s’élevait à 6 % selon les dernières informations. Ce chiffre est donc en hausse par rapport à l’année dernière (environ 5 %). Là encore, il n’y a pas lieu de paniquer. La moyenne à long terme se situe autour de 8 %, mais nous assistons à une détérioration. Tandis que le taux de chômage commence à remonter un peu, il y a plus d’incertitude et elle continue de se propager.

Chris Cooksey : Je vois. Et vous savez, aux États-Unis, il semble que l’environnement soit nettement différent.

Neil Linsdell : Oui, tout à fait. Les États-Unis ont été beaucoup plus résistants, à bien des égards. Le PIB est plus fort. Donc, nous avons eu 3,4 % au quatrième trimestre, le premier trimestre était un peu faible à 1,6 %, mais il y a toujours une croissance très décente là-bas. De plus, leur taux de chômage – il y a eu un nouveau rapport sur l’emploi ce matin – se situe à 3,9 %, un peu en hausse par rapport aux 3,8 % du mois dernier. Le marché reste relativement rigide et c’est peut-être l’une des raisons pour lesquelles les États-Unis ont un peu plus de mal à gérer l’inflation. Le taux d’inflation aux États-Unis s’est récemment accéléré, au point de susciter des inquiétudes quant à la possibilité que les États-Unis recommencent à relever leurs taux d’intérêt. La semaine dernière, le dernier chiffre de l’IPC était de 3,5 %, et celui des DPC de base était de 2,8 % aux États-Unis. Ils ont dépassé les attentes et restent obstinément élevés. Jerome Powell, le président de la Fed, a déclaré cette semaine que l’inflation restait évidemment trop élevée, mais que la Fed considérait que les taux actuels étaient suffisamment restrictifs et qu’il était peu probable que le prochain changement de taux d’intérêt soit une hausse. Les perspectives et le potentiel de hausse des taux ont donc été écartés, mais il est clair que la Fed a du temps devant elle. Elle pourrait prendre un peu plus de temps. Elle pourrait observer les données avant de s’engager à réduire les taux. À l’heure actuelle, on s’attend généralement à une seule baisse de taux cette année. Notre équipe américaine en prévoit deux, et il est intéressant de noter que le rapport hebdomadaire sur l’emploi aux États-Unis qui a été publié ce matin a révélé que les emplois non agricoles n’ont augmenté que de 175 000 en avril, alors que l’on s’attendait à une augmentation de 240 000. L’économie s’affaiblit un peu, l’emploi n’est pas aussi fort et cela a soudainement augmenté le potentiel, l’enthousiasme que la Fed pourrait avoir une plus grande marge de manœuvre pour réduire les taux plus tôt. Ici, les sentiments peuvent changer en un clin d’œil.

Chris Cooksey : Je comprends. Notre collègue Harvey Libby a parlé, au dernier épisode, de ses attentes concernant les réductions des taux d’intérêt au Canada, et il a suggéré qu’elles pourraient avoir lieu en juin. Je suppose que la situation de l’inflation est un peu meilleure ici au Canada en raison de ces hausses de taux?

Neil Linsdell : Oui. Au Canada, nous avons constaté une progression relativement régulière de l’inflation. L’IPC total est inférieur à 3 % depuis trois mois, alors qu’il se rapproche du niveau magique de 2 % et qu’il se situe déjà dans la fourchette de confort de 1 à 3 % fixée par la Banque du Canada. Mais il ne faut pas oublier qu’il y a l’IPC, l’IPC trimestriel et l’IPC médian. Il existe donc différentes façons de calculer l’inflation au Canada. Et chacune d’entre elles exclut certains articles volatils différents. Nous avons publié des informations plus détaillées dans notre rapport mensuel « Perspectives et stratégies » du mois d’avril, que vous pouvez consulter. Mais ce que nous avons expliqué, c’est que si l’on supprime l’impact des taux d’intérêt élevés sur les paiements hypothécaires, le taux d’inflation est déjà inférieur à l’objectif de 2 % de la Banque du Canada. Pensez-y. Si des taux d’intérêt élevés sont censés réduire l’inflation, mais qu’ils l’aggravent en augmentant la composante « coût du logement » de notre mesure de l’inflation, ne pensez-vous pas que nous devrions abaisser les taux d’intérêt à ce moment?

Chris Cooksey : Oui, ça me semble bien. Comme je l’ai déjà dit, mon hypothèque à taux variable bénéficierait de la réduction. Pensez-vous alors, comme notre collègue Harvey, que c’est en juin qu’elle commencera?

Neil Linsdell : Oui, je suis d’accord avec Harvey sur ce point, le marché semble partagé entre les attentes d’un cycle d’assouplissement au Canada qui commencerait soit en juin, soit en juillet. Mais je pense que la banque peut et doit, comme vous le mentionnez, baisser le taux à partir de juin. N’oubliez pas que l’économie est déjà sous pression et que plus on attend pour baisser les taux, plus les hypothèques seront renouvelées à des taux plus élevés que ce qu’elles auraient pu être. Il y a une pression accrue sur les consommateurs. De plus, comme nous l’expliquons dans notre rapport, l’inflation se situe déjà à un niveau inférieur ou égal au taux cible. Si l’on procède à des ajustements très raisonnables sur la manière de mesurer les choses, il n’y a aucune raison de mener la politique excessivement restrictive qui est la nôtre aujourd’hui. Alors oui, je penche pour une réduction en juin.

Chris Cooksey : Je vois. Nous avons beaucoup d’« hivernants » ici, qui ont besoin de dollars américains. Si nous commençons à réduire les taux d’intérêt et que les États-Unis ne le font pas, quelles seront les répercussions sur la monnaie à l’approche de l’automne, lorsque les gens commenceront à aller dans leurs maisons dans le sud?

Neil Linsdell : Il est tout à fait possible que cela ait un impact sur les devises. De nombreux facteurs entrent en ligne de compte dans les taux de change, mais la différence entre les taux d’intérêt a certainement une influence. On pense que la BCE et la BdC abaisseront les taux avant les États-Unis à ce stade, ce qui devrait affaiblir le dollar canadien par rapport au dollar américain, mais il y a quelques répercussions à prendre en compte. Dans ce cas, que se passe-t-il? Il y a un risque d’importer l’inflation des biens au Canada. Par conséquent, tout ce que vous importez des États-Unis à ce moment-là rend ces produits plus chers en dollars canadiens. Cela peut donc stimuler l’inflation au Canada. Mais cela rend également les exportations canadiennes plus attrayantes pour le marché américain, n’est-ce pas? Parce qu’elles deviennent moins chères en dollars américains. Cela pourrait contribuer au PIB. En fin de compte, il ne faut pas que les taux soient trop différents. Le gouverneur de la Banque du Canada s’est exprimé à ce sujet cette semaine devant la commission des finances de la Chambre des communes. Il a admis qu’il y a une limite à la divergence des taux d’intérêt américains et canadiens, mais que nous ne sommes certainement pas proches de cette limite à l’heure actuelle. J’en déduis que la Banque du Canada ne va pas attendre pour réduire ses taux simplement parce que la Fed n’est peut-être pas prête à entamer son cycle d’assouplissement.

Chris Cooksey : Je vois. Pour résumer, je dirais que le PIB a été plus élevé que prévu dans les deux pays, qu’il s’affaiblit, que l’on s’attend toujours à une légère récession vers la fin de l’année, et que le taux de chômage va probablement continuer à augmenter. Ai-je bien compris?

Neil Linsdell : Oui, exactement. Si nous revenons en arrière et que nous examinons les différences par rapport à ce qu’on a écrit en janvier, nous pensons maintenant que les États-Unis éviteront la récession. C’est probablement l’un des éléments les plus importants, et nous envisageons plutôt un scénario d’atterrissage en douceur parce que nous avons constaté une forte croissance du PIB et, pour l’essentiel, les attentes en matière de réduction des taux aux États-Unis sont moindres, donc moins de réductions de taux, et plus vers la fin de l’année.

Chris Cooksey : Je vois. Cela doit donc influencer les marchés boursiers d’une manière ou d’une autre. Il y a eu une belle série depuis octobre dernier, et vous m’avez fait savoir que le mois d’avril était notre premier mois négatif depuis. Alors, qu’est-ce que cela laisse présager?

Neil Linsdell : Oui, c’est vrai. Je veux dire, l’indice composite TSX et l’indice S&P 500 ont tous deux baissé en avril, mais il ne faut pas oublier que cela s’est produit après cinq mois dans le positif. Le TSX a donc baissé de 1,8 % en avril, tandis que le S&P 500 a baissé de 4,2 %. Là encore, il faut prendre du recul. Le S&P 500 a progressé d’environ 27 % par rapport à octobre, et le TSX d’environ 20 %. Si une sorte de relâchement survient, si une sorte de pression est retirée du système, il s’agirait d’une volatilité accrue, étant donné les rendements importants que nous avons observés au cours de l’année dernière, et n’oubliez pas que la volatilité fonctionne dans les deux sens. Tout cela est donc relativement normal. Ce type de volatilité se retrouve sur le marché boursier. Mais aujourd’hui, alors que nous sommes au cœur de la saison des bénéfices, nous examinons ces derniers et, dans l’ensemble, ils ont été solides. Le fait que les taux puissent rester plus longtemps élevés, du moins aux États-Unis, peut peser sur les multiples d’évaluation des actions. Nous ne prévoyons qu’une amélioration modeste des actions jusqu’à la fin de l’année. Mais avec ce scénario d’atterrissage en douceur, la croissance économique reste bonne. Oui, dans l’ensemble, les résultats sont bons. Vous savez, les perspectives pluriannuelles restent très positives. Et si l’on considère les multiples d’évaluation. Les multiples d’évaluation au Canada ont été plus conservateurs qu’aux États-Unis, comme c’est généralement le cas. À l’heure actuelle, les ratios C/B sur les indices composés sont d’un peu plus de 14 fois plus élevés au Canada, un peu plus de 20 fois aux États-Unis. C’est plus élevé. Cela s’explique en grande partie par la présence des sept magnifiques. Les prévisions de croissance du BPA au Canada sont également plus faibles, de l’ordre de 5 %, en 2024 par rapport à 2023. Aux États-Unis, elles sont d’environ 11 %. Il y a toujours beaucoup d’équilibrage sur les marchés. Il ne faut pas oublier qu’il est difficile, voire impossible, de prévoir le marché. Il est donc préférable de ne pas essayer des stratégies complexes et de s’en tenir à des placements de bonne qualité qui vous serviront bien à long terme.

Chris Cooksey : Comme vous le dites, il est important de prendre en compte l’ensemble de l’histoire plutôt qu’un seul point négatif ou un seul point trop positif, et je vais supposer que vous êtes d’accord avec moi pour dire que la meilleure personne à qui les particuliers peuvent s’adresser est leur conseiller Raymond James.

Neil Linsdell : Vous m’avez enlevé les mots de la bouche.

Chris Cooksey : Vous avez évoqué les taux hypothécaires tout à l’heure, le récent budget fédéral a mis l’accent sur le logement et la presse s’est évidemment penchée sur la question de l’accessibilité du logement, et vous avez publié quelques commentaires à ce sujet au cours des derniers mois. Ces initiatives ont-elles une incidence sur vos prévisions?

Neil Linsdell : Eh bien, effectivement. Nous avons beaucoup écrit sur la crise du logement au Canada, qui concerne à la fois la disponibilité et l’accessibilité. Bien qu’il soit bon de voir des initiatives pour soutenir le logement, nous ne voyons pas vraiment de soulagement immédiat. Le problème se situe en fait entre l’offre et la demande. L’année dernière, la population du Canada a augmenté de 1,3 million de personnes, une croissance sans précédent, et toutes ces personnes ont besoin d’un endroit où vivre. D’autre part, le nombre de mises en chantier est en baisse constante depuis 2021. Même la mise à jour de la SCHL de cette semaine prévoit que les mises en chantier diminueront encore en 2024, en dessous du nombre actuel de 240 000 que nous avons vu en 2023, bien que la croissance démographique se poursuive sans relâche et que les plans du gouvernement pour freiner cette croissance démographique semblent commencer à prendre effet entre 2025 et 2027. En octobre dernier, lorsque nous avons parlé pour la première fois de la crise du logement, nous avons estimé qu’il fallait construire environ 650 000 logements par an. Cette mesure a été prise immédiatement afin de se rapprocher des objectifs du gouvernement en matière d’accessibilité financière. Six mois plus tard, la situation n’a fait qu’empirer. Je ne pense donc pas qu’il y ait un soulagement immédiat, et il faudra un certain temps pour construire de nouveaux logements, en particulier des unités multifamiliales ou des immeubles d’appartements. Il faut coordonner cela entre plusieurs niveaux de gouvernement, n’est-ce pas? Ce n’est pas une mince affaire étant donné que les initiatives gouvernementales, quelles qu’elles soient, mettront du temps à se répandre sur le marché et que les incertitudes liées à l’environnement des taux d’intérêt ne sont pas nécessairement propices à la prise de risques supplémentaires par les promoteurs. L’équilibre entre l’offre et la demande a peu de chances de s’améliorer à très court terme, de sorte que je ne suis même pas sûr que nous ayons suffisamment de travailleurs de la construction pour atteindre les taux de croissance. Nous devons atteindre ces objectifs. C’est donc quelque chose à surveiller. Nous ne voyons malheureusement pas de solutions à court terme. Il est bon de voir des initiatives sur ce thème, mais il n’y a pas beaucoup d’aide dans l’immédiat, malheureusement.

Chris Cooksey : C’est une excellente nouvelle. Merci pour tous ces conseils, Neil.

Neil Linsdell : Nous terminons sur une bonne note.

Chris Cooksey : Oui. Je ne suis pas très fort en mathématiques, mais je peux quand même voir que le calcul ne fonctionne pas. Espérons que les chantiers commencent à se réaliser. Je tiens à vous remercier d’avoir pris le temps aujourd’hui, Neil. Je vous remercie de m’avoir accordé un peu de votre temps et nous nous reverrons au prochain trimestre.

Neil Linsdell : Très bien. Merci beaucoup de m’avoir reçu à nouveau.

Chris Cooksey : Écrivez-nous à l’adresse advantagedinvestorpod.ca. Abonnez-vous sur Apple, Spotify ou l’application où vous trouvez vos balados. N’hésitez pas à communiquer avec votre conseiller si vous avez des questions. Merci d’avoir pris le temps de nous écouter aujourd’hui. À la prochaine. Portez-vous bien.

 

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