L'investisseur avantagé : Aider vos parents à faire la transition vers un logement avec assistance ou une résidence pour personnes âgées – (ép 103)

Neela White, gestionnaire principale de portefeuille, se joint à l’animateur Chris Cooksey pour discuter des options permettant de faciliter la transition des parents vers des logements avec assistance ou des résidences pour personnes âgées, notamment :
- Quel type de planification faut-il faire?
- Comment s’effectue la transition vers l’aide à la vie autonome?
- Comment aménager leur nouvel espace? Que faire pour qu’ils se sentent comme chez eux?
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Transcript
Chris Cooksey : Bonjour et bienvenue à L’investisseur avantagé, un balado de Raymond James Ltée qui offre une perspective aux investisseurs canadiens désirant rester informés et concentrés sur le succès à long terme. Nous sommes le 12 septembre 2024. Je m’appelle Chris Cooksey et je travaille pour le service Communications d’entreprise et marketing de Raymond James. Aujourd’hui, la gestionnaire principale de portefeuille, Neela White, revient participer au balado pour des épisodes consécutifs – Neela, je pense bien que vous êtes la première à le faire. La dernière fois, nous avons abordé les conseils financiers qui peuvent concerner les femmes, mais qui s’appliquent également de manière générale. Aujourd’hui, nous discuterons de la manière dont nous pouvons faciliter la transition de nos parents vers la retraite ou vers un logement avec assistance. Je vous invite à consulter les archives pour y trouver d’excellents épisodes, dont beaucoup mettent en vedette Neela. Alors, bon retour à L’investisseur avantagé, Neela. J’espère que vous vous allez bien aujourd’hui.
Neela White : Merci de me recevoir de nouveau. Chris. Oui, qu’est-ce qui pourrait mal se passer un jour où l’indice humidex atteint les trente degrés à Toronto?
Chris Cooksey : Eh bien, pour septembre, c’est parfait, Neela. Nous discutons, comme je l’ai déjà mentionné, de la manière dont nous pouvons aider nos parents, mais aussi toutes les personnes de notre entourage, à se sentir à l’aise devant un événement important de la vie pour beaucoup d’entre eux, à savoir l’entrée dans une maison de retraite ou dans un logement avec assistance. Personnellement, mes deux grands-mères sont passées par là. Je n’ai pas participé à la décision à l’époque, mais je me souviens avoir visité les lieux, et mes parents n’y sont pas encore. J’ai donc hâte d’en apprendre davantage sur ce sujet aujourd’hui, Neela, car il semblerait que c’est quelque chose qui touche de plus en plus de gens parmi nous, au fur et à mesure que nous vieillissons. Bien entendu, nous en avons parlé lors de la COVID et de certains des problèmes que cette pandémie a mis en lumière. Je suis sûr que pour plusieurs personnes, c’est en quelque sorte, l’un des derniers grands changements de vie, si ce n’est le dernier, qui peuvent survenir. Cette affirmation est-elle exacte?
Neela White : Vous savez quoi? Je pense que c’est l’un de ces événements de la vie qui ont une incidence sur tout le monde, pas seulement sur la mère et le père, mais aussi sur les enfants adultes. Cela influe sur leurs relations sociales. Je pense que c’est l’une des choses dont nous devons nous rendre compte, que les événements de la vie ne se produisent pas en ligne droite, n’est-ce pas? Il y a toutes sortes d’évolutions et il s’agit simplement d’en être conscient, de les planifier et d’en parler. Je pense que c’est la chose la plus importante – nous avons tendance à éviter ces conversations, ce qui n’aide pas à la prise de décision, n’est-ce pas? Que fuyons-nous exactement? Les choses que nous craignons. Alors, comment prendre une décision quand on a déjà des pensées qui nous effrayent, n’est-ce pas?
Chris Cooksey : Oui. Je pense que c’est le genre de décisions pour lesquelles il est illogique d’attendre à la dernière minute afin de tenter de trouver une solution. Vous devez planifier tout cela.
Neela White : Oui.
Chris Cooksey : Il est important d’en parler. Il se peut que vous pensiez que la personne ne voudra pas en discuter. Ils aiment leur jardin ou leur chien et ne veulent rien faire de tout cela. Mais ensuite, vous leur parlez et ils vous disent : « Mince, je ne veux plus tondre la pelouse ». Je suppose que c’est pour cette raison qu’il peut s’agir d’une conversation très positive, plus facile, même si elle n’est probablement jamais facile, mais plus facile, ou, comme nous l’avons dit, assez difficile.
Neela White : Oui, je pense que cela dépend de qui a l’impression de maîtriser la situation, n’est-ce pas? Malheureusement, lorsque j’étais une proche aidante, je l’ai été pendant dix ans et, en tant que proche aidante, on cherche parfois à tout résoudre le plus rapidement possible, ce qui ne permet pas toujours au bénéficiaire de soins de participer à la prise de décision et d’avoir l’impression d’être partie prenante dans ce qui lui arrive. Je pense donc que la première chose à faire est de toujours impliquer le bénéficiaire dans la prise de décision. Et c’est une bonne chose, car cela permet à vos parents de se sentir maîtres de la situation. Cela leur permet de se sentir respectés. Et cela réduit le sentiment d’être forcé et abandonné, n’est-ce pas? Parce qu’ils vont être séparés de tout ce qu’ils connaissent. Ils vont se retrouver dans un nouvel environnement. Et la façon la plus simple de le faire est de s’asseoir, et ce ne sont pas des conversations faciles, comme vous l’avez mentionné, mais d’avoir des conversations ouvertes et honnêtes, sur les raisons pour lesquelles un logement avec assistance pourrait être bénéfique. Et l’étape suivante est très importante; il s’agit de visiter ces lieux. Malheureusement, un logement avec assistance, surtout lorsqu’il s’agit de soins de longue durée, ce qui est différent d’une maison de retraite ou de certaines formes d’aide à la vie autonome, a une connotation négative.
Je pense qu’il est très important d’accompagner les parents, un oncle ou quelqu’un d’autre, de faire une visite guidée pour qu’ils puissent se familiariser avec leur nouvel environnement, plutôt que de les déposer et de partir. Imaginez votre enfant, le premier jour de la maternelle, imaginez ce que ressent l’enfant lorsqu’après avoir été si longtemps avec son père et sa mère, il est déposé et qu’il voit le dos de ses parents. C’est le même genre de sentiment d’abandon et nous savons tous que préparer les enfants à s’adapter à la situation doit être fait de façon progressive, n’est-ce pas? Emmenez-les donc plusieurs fois à l’établissement, dînez, déjeunez et participez à quelques activités là-bas. Allez dans des endroits où vous pouvez évoquer : « Maman et papa, vous aimez lire près d’une fenêtre ». Allez voir l’établissement ou le bâtiment et dites : « Hé, regardez, il y a une fenêtre ». Voici une belle chaise. Vous pouvez encore lire près de la fenêtre. Ce genre de choses.
Chris Cooksey : Je pense que la première étape serait la planification ou la préplanification et, évidemment, les visites feraient partie de cette discussion, mais y a-t-il un ordre que vous suggéreriez de suivre lorsque vous pensez à la préplanification? Nous pourrons donc peut-être revenir sur ce point.
Neela White : Je pense qu’en toute logique, la première chose à faire est d’avoir cette conversation et de reconnaître pourquoi il y a un besoin de soutien. Il se peut qu’ils ne s’alimentent pas correctement. Ils sont incapables de se laver en toute sécurité, de monter et descendre les escaliers en toute sécurité, de cuisiner, etc. Je pense que cela peut être souligné sans condescendance, afin d’être en mesure de mettre en évidence combien de temps ils peuvent maintenir leur indépendance grâce à un logement avec soutien. Ce n’est donc pas comme si, dans un logement avec soutien ou avec assistance, on faisait tout pour vous. Il s’agit simplement d’un environnement où vous bénéficiez d’un soutien, où vous pouvez continuer à être aussi indépendant que possible, et où les petites lacunes sont comblées.
Je pense que la première chose à faire est de les impliquer dans la prise de décision, d’avoir une conversation sur ce que vous voulez, sur ce que nous avons les moyens d’avoir. N’oubliez pas que cela dépend en partie du budget et qu’il faut établir un plan A, un plan B et un plan C. Le plan A, disons qu’il s’agit de maisons de retraite ou de logements avec assistance. Allez jeter un coup d’œil dans le voisinage, que ce soit autour de vos parents ou autour de la personne qui sera le proche aidant potentiel ou la personne qui rendra souvent visite à votre parent. Veillez à ce que ce soit accessible. Veillez à ce que l’endroit soit agréable. Veillez à ce que la famille puisse aller leur rendre visite. Assurez-vous que vos relations sociales sont au courant et que vous envisagez cette transition. En effet, ce qui aide le plus à s’installer dans n’importe quel endroit, c’est que vos amis, votre communauté, vos groupes sociaux sachent où vous êtes, pour que vous ne soyez pas comme s’ils avaient disparu de la surface de la terre et pour que vous puissiez continuer à entretenir ces relations sociales.
Chris Cooksey : Oui. C’est tout à fait logique. Je sais que l’une de mes grands-mères a déménagé de Kingston, où ma mère a grandi, mais ma mère et ses sœurs avaient toutes déménagé de Kingston. Heureusement, ils étaient tous à Ottawa, ce qui a facilité la transition, mais vous savez, ils étaient très inquiets à l’idée de sortir ma grand-mère de sa zone de confort et de l’emmener dans une nouvelle ville, vous savez, à cause des amis et de l’aspect social. Il y a donc de nombreux facteurs à prendre en compte, et je pense que c’est ce à quoi je veux en venir.
Neela White : J’allais juste dire que l’une des choses les plus importantes pour tout le monde, que ce soit parce qu’il n’y a pas d’endroit comme la maison et que vous voulez vieillir sur place, ou parce que vous allez vivre dans une maison de retraite ou quoi que ce soit d’autre, c’est de faire tout ce que vous pouvez pour prévenir les sentiments de solitude et d’isolement. Si je ne me trompe pas, l’Organisation mondiale de la Santé a déclaré que la solitude était une épidémie. Pensez-y, rien que l’absence de lien social. C’est certainement un moment de votre vie où vous souhaitez conserver le plus grand nombre possible de ces liens. Nous avons la technologie, il est peut-être un peu difficile pour un ami âgé de rendre visite à un ami âgé, mais il y a toujours le clavardage vidéo, il y a toujours le téléphone, le téléphone fonctionne toujours, n’est-ce pas? Les lettres et les cartes postales fonctionnent encore. Toutes ces choses valident encore votre existence, on s’occupe de vous, on se souvient de vous, et il y a des relations sur lesquelles vous pouvez compter.
Chris Cooksey : Oui, je comprends. J’imagine que la transition vers un logement avec assistance est un peu différente. Bien sûr, il y a des règles, et je suis sûr que si vous venez d’un logement en copropriété, les règles sont similaires. Vous ne pouvez pas mettre cela sur votre porte et toutes ces choses amusantes, mais vous avez vos heures de repas, et vous pourriez avoir une petite cuisinette ou pas, mais ce serait différent. Je veux dire, je ne pense pas que quiconque puisse le contester. Comment faire la transition vers un logement avec assistance? Quels sont ces conseils?
Neela White : Je dirais qu’il y a deux étapes, graduelles, si l’établissement le permet, la transition graduelle est généralement la meilleure. Il ne s’agit donc pas d’un changement d’environnement radical où on se lève un matin dans sa propre maison, dans son propre lit, et où on va dormir le soir dans un endroit inconnu, dans un lit inconnu. Beaucoup d’établissements proposent des séjours de répit, des séjours de vacances, où vous pouvez aller et rester pour la fin de semaine, vous pouvez rester pour une semaine, je pense que c’est un bon moyen de rendre l’environnement moins intimidant et de s’habituer à la nouvelle routine des repas et des activités sociales et d’autres choses comme ça. Je pense qu’une transition permet d’atténuer l’impact émotionnel d’un changement d’environnement. Si possible, commencez par des séjours de courte durée, des visites, des séjours de répit, afin de vous y habituer. Ensuite, je pense que c’est lorsque vous avez vraiment fait ce pas que survient la deuxième partie. Une fois que vous avez décidé de faire ce pas, de toute évidence, une pièce conviendra beaucoup moins qu’un appartement, un logement en copropriété ou une maison. Je pense que vous devriez dresser une liste de dix éléments qui vous sont très personnels et qui vous aideront à créer un sentiment de continuité et de confort.
Il peut s’agir de votre fauteuil préféré, de vos décorations préférées, de couvertures, etc., ou de photos, qui sont très importantes. Cela permet de se remémorer des souvenirs, en particulier si l’on est atteint d’une maladie qui entraîne un certain déclin ou une perte de mémoire, etc. Les photos sont un excellent moyen pour les proches aidants et le personnel de soutien d’entrer en contact avec cette personne en lui rappelant des souvenirs.
Chris Cooksey : C’est logique. Vous avez commencé à parler de la liste des dix choses, comme vous l’avez dit, mais la plupart des gens vont probablement passer à un espace plus petit. Je sais que si vous regardiez mon garage, vous verriez un tas de choses qu’une entreprise de débarras devrait venir chercher. Comment les aider avec ce nouvel espace? Et, au-delà des photos, comment faire en sorte que l’on se sente chez soi?
Neela White : Vous savez quoi? Je dirais que si vous pouviez orienter les choses dans la pièce de manière semblable à ce qu’était leur chambre. C’est donc une chose. Quel que soit l’endroit le plus proche de celui où ils se trouvent dans le lit, vous voudrez recréer un espace très semblable à celui-ci. Les photos, comme je l’ai dit, sont très importantes. Les articles de confort sont généralement des articles tels que les édredons et les couvertures. Ils ont tendance à donner le sentiment d’être chez soi et d’être en sécurité. Je dirais celui-là. Pantoufles préférées, chaussures préférées, chemise de nuit ou robe de chambre préférée, ou tasse préférée, toutes ces choses. Lorsque nous emménageons dans un espace plus petit, ne nous demandons-nous pas habituellement : oh, mon Dieu, mais comment avons-nous accumulé toutes ces choses? Parce que nous n’en utilisons que 10 %. C’est un peu la même chose. Quelles sont les 10 choses auxquelles vous pensez lorsque vous prenez votre petit-déjeuner? Celles que vous utilisez lorsque vous vous douchez, lorsque vous vous habillez, lorsque vous regardez la télévision ou lorsque vous lisez. Qu’est-ce que vous utilisez, et j’examinerais ce qui est le plus important dans chaque habitude que vous avez.
Chris Cooksey : Pour terminer, je pense que c’est un grand sujet, une grande conversation et une grande décision à prendre. Quelles sont vos suggestions sur le moment opportun pour avoir cette conversation? S’agit-il de planter la graine tôt afin d’avoir une conversation plus, je ne sais pas si on peut dire cela à ce propos, « décontractée », mais n’est-ce pas mieux de soulever la question un peu plus longtemps à l’avance?
Neela White : Vous savez quoi? Je ne saurais trop insister sur l’importance d’entamer ces conversations dès le début, alors qu’elles sont encore positives. Je pense qu’une partie du problème, et je le comprends, est que nous avons tendance à être très réactifs dans un moment de crise, c’est-à-dire qu’un diagnostic arrive, une chute arrive, une hospitalisation arrive, et tout d’un coup c’est, oh mon Dieu, nous ne savons pas vers qui nous tourner et nous avons tendance à prendre des décisions qui satisfont le moment ou qui soulagent le point sensible à ce moment-là. En revanche, si vous entamez cette conversation dès le début, vous pouvez examiner les aspects positifs parce qu’ils font partie de la prise de décision. Ce n’est pas vous, en tant que proche aidant ou personne ayant une procuration, qui leur imposez la décision. Plus ils sont médicalement dans une position complexe, plus le soutien dont ils ont besoin est complexe. Je pense qu’il est préférable d’agir tôt. Concentrez-vous sur les aspects positifs de ce changement, mettez en place un plan de communication et discutez-en avec d’autres personnes qui ont vécu des expériences similaires. Le plus important, c’est que nous puissions partager des histoires sur le bon et le mauvais côté des choses, ce qui nous permet d’aborder le mauvais côté dès le début et de nous concentrer ensuite sur le bon côté des choses.
Chris Cooksey : Oui. C’est tout à fait logique. Maintenant, y a-t-il autre chose que vous aimeriez nous dire, aujourd’hui?
Neela White : Je serai la première à dire que le changement est difficile, que la transition est difficile. Je pense que nous devons nous concentrer sur les pauses, nous devons rester impliqués, surtout si nous faisons partie du plan, nous devons rester impliqués, parce que cela nous touchera. Je pense que, lorsque la décision de déménager est prise, nous devons la célébrer, la célébrer comme une décision autonome et indépendante que nos parents ont prise pour eux-mêmes, et cela atténue tout ce sentiment de culpabilité qui consiste à se dire que l’on aurait pu faire plus d’efforts. Peut-être que si nous avions fait ceci, peut-être que si nous avions fait cela. Je pense que ce sont là des points positifs. Et oui, commencez tôt. Peu importe que la conversation ne soit pas nécessaire à ce moment-là, mais les conversations restent dans l’esprit des gens, et à un moment donné, il se peut que je ne parvienne pas à monter les escaliers le matin, ou que je remarque que j’ai laissé la cuisinière allumée. Que pourrait-il se passer? Ai-je besoin d’un peu de soutien? Qui peut m’offrir ce soutien? Apportez ce soutien en disant, retournons à cette conversation que nous avons eue. Aidez-les à comprendre si leur budget leur permet de payer une maison de retraite.
Chris Cooksey : C’est logique. Eh bien, Neela, comme je l’ai déjà dit, j’apprends toujours quelque chose, vous me donnez toujours des éléments de réflexion et des points à retenir. Je vous remercie vraiment pour votre temps et j’espère que nous nous reverrons bientôt.
Neela White : Parfait. Je vous remercie de m’avoir invitée et je vous souhaite une excellente journée.
Chris Cooksey : Écrivez-nous à l’adresse advantagedinvestorpod@raymondjames.ca. Abonnez-vous sur Apple, Spotify ou sur tout autre site de balados. N’hésitez pas à communiquer avec votre conseiller si vous avez des questions. Merci d’avoir pris le temps de nous écouter aujourd’hui. À la prochaine. Portez-vous bien.
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