Mise à jour sur les valeurs mobilières | Retour sur 2023 et aperçu de 2024

Neil Linsdell, chef, Stratégie d’investissement, nous rend visite afin de parler des marchés boursiers, en abordant les points suivants :
- Le marché à la fin de 2023
- L’inflation
- Les taux d’intérêt
- Les portefeuilles équilibrés et les autres options offertes en 2024
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Transcription
Chris Cooksey : Bonjour et bienvenue à L’investisseur avantagé, un balado de Raymond James Limitée, qui offre une perspective aux investisseurs canadiens qui veulent rester informés et concentrés sur le succès à long terme. Nous enregistrons ce balado le 16 janvier 2024. Je m’appelle Chris Cooksey et je travaille pour le service Communications d’entreprise et marketing de Raymond James. Aujourd’hui, Neil Linsdell, responsable de la stratégie de placement est de retour dans ce balado pour passer en revue l’année 2023 et nous donner une idée de ce que nous réserve l’année 2024. Neil, bienvenue! J’espère que vous vous portez bien. C’est toujours un plaisir de se retrouver et d’avoir ce type de discussion avec vous.
Neil Linsdell : Oui, je suis ravi d’être ici. Merci de m’avoir reçu.
Chris Cooksey : Très bien. Comme vous le savez mieux que moi, l’examen d’une année complète et la révision de l’année précédente peuvent donner lieu à de nombreuses discussions. Nous allons donc nous lancer et, avant d’aborder les perspectives pour 2024, nous allons récapituler brièvement l’année 2023.
Neil Linsdell : Excellente idée. L’année 2023 a été essentiellement consacrée à la lutte contre l’inflation. Cela a entraîné des augmentations très musclées des taux d’intérêt. Revenons aux bases de l’économie. Vous vous souvenez sans doute que l’inflation survient lorsque la demande est trop forte, que les biens sont en nombre insuffisant et que, par conséquent, les prix augmentent. Vous vous souvenez sans doute également qu’en 2020, le monde était en proie à une pandémie qui, entre autres, a perturbé les chaînes d’approvisionnement. Si vous étiez à la recherche d’une pièce de voiture, d’un appareil électroménager ou même de papier toilette, vous vous rappelez sûrement que les chaînes d’approvisionnement qui acheminaient ces produits, de la fabrication au transport jusqu’aux rayons des magasins, étaient dans certains cas en plein chaos, n’est-ce pas? Parallèlement, alors que certaines personnes perdaient leur emploi ou voyaient leurs revenus restreints, le gouvernement est intervenu avec des chèques anti-inflation, ce qui a permis de mettre plus d’argent à la disposition de la population. Mais n’oubliez pas qu’ils ont eu moins d’occasions de dépenser cet argent. La demande est donc forte, l’offre est faible et les prix augmentent. C’est vraiment dans le courant des mois d’avril et de mai 2021 que l’inflation a dépassé la fourchette de 1 à 3 % dans laquelle la Banque du Canada aime se maintenir. Au début, on s’attendait à ce que l’inflation ne soit que passagère, n’est-ce pas? Si la chaîne d’approvisionnement retrouve son fonctionnement normal, le taux d’inflation diminuera. Cela semblait raisonnable puisque les chiffres de l’inflation étaient également mesurés d’une année sur l’autre. Si l’on compare ces chiffres à ceux des 12 mois précédents, depuis le début de la pandémie, on constate qu’on les comparait à des chiffres très bas, voire négatifs. Il s’agissait peut-être d’une simple moyenne. L’inflation a continué de progresser et, en mars 2022, elle avoisinait les 6 %. La Banque du Canada a alors décidé qu’elle ferait mieux d’agir, voire de rattraper le temps perdu.
Il ne faut pas perdre de vue que lorsque l’on augmente les taux d’intérêt pour lutter contre l’inflation, il faut compter un délai de 18 à 24 mois avant que les changements de politique monétaire n’exercent une influence sur l’économie réelle. L’inflation augmentant rapidement, il n’y avait guère de temps à perdre. Nous sommes donc partis d’une base de seulement 0,25 %, ce qui était le taux directeur, la Banque du Canada ayant augmenté ses taux à 5 % entre cette date et le mois de juillet de l’année dernière. Sur une période de 16 mois, et ce phénomène a également été observé aux États-Unis, qu’il s’agisse d’une politique monétaire plus stricte, de problèmes de chaîne d’approvisionnement plus longs à résoudre ou d’une combinaison des deux facteurs, l’inflation a atteint un pic d’environ 8 % en juin 2022, avant de commencer à chuter rapidement. Je tiens à préciser que l’IPC global, l’indice des prix à la consommation, constitue une mesure volatile. La Banque a préféré opter pour des mesures de l’IPC qui ne tiennent pas compte de certaines des variables les plus volatiles, telles que les prix de l’énergie. Vous imaginez sans peine à quel point le prix de l’essence peut fluctuer à la station-service du coin de la rue. C’est également ce que fait la Fed aux États-Unis. Nous parlons donc parfois d’inflation fondamentale. Le chiffre de l’inflation fondamentale a donc suivi la même évolution que les chiffres globaux, mais elle n’a pas été aussi extrême. Au Canada, nous avons mesuré le pic autour de 5 à 5,5 %, mais il reste bien au-dessus de l’objectif de 2 % et de la fourchette cible de maîtrise de l’inflation de 1 à 3 %. Ainsi, au terme de l’année 2023, ces mesures sont généralement de l’ordre de 3 à 3,5 %. Ce matin, nous venons d’apprendre que l’inflation s’élevait à 3,4 %. Nous restons donc dans cette fourchette pour l’instant. Les prix des biens ont globalement été plus normalisés que ceux des services. L’inflation reste assez élevée et nous avons assisté à de nombreuses négociations et grèves liées aux salaires. Vous vous en doutez, cela continue d’être une source de pression sur le taux d’inflation, n’est-ce pas?
Chris Cooksey : En ce qui concerne l’inflation, comme vous l’avez mentionné, elle se situe entre 3 et 3,5 %. L’objectif est de 2 %. C’est le chiffre qui est sorti ce matin. J’ai lu dans un article qu’il était un peu plus élevé que prévu, donc peut-être que cela répondra à la question que je vais vous poser maintenant : sommes-nous assez proches de la cible des 2 % et les taux de mon prêt hypothécaire à taux variable vont-ils commencer à diminuer?
Neil Linsdell : Beaucoup de gens seraient d’accord avec vous. Toutefois, il ne faut pas oublier que les banquiers sont toujours préoccupés par une reprise de l’inflation, n’est-ce pas? Les chiffres sont en hausse, mais on s’attendait à ce qu’ils augmentent de toute façon, parce qu’on travaille toujours sur la base d’une comparaison d’une année sur l’autre. Cependant, personne ne souhaite que ces taux repartent à la hausse, n’est-ce pas? Dans l’ensemble, nous constatons que les chiffres de l’inflation diminuent et que cette tendance se poursuit, mais les banquiers sont toujours prudents et ils veulent disposer de données suffisamment étayées avant de prendre une décision.
Le risque le plus important pour eux serait une reprise de l’inflation. Au cours des derniers mois, nous avons assisté à un assouplissement considérable du discours, qui n’est plus aussi belliciste, pour ainsi dire. Il est à peu près certain que les chiffres de l’inflation continueront à baisser en 2024, mais que nous n’atteindrons pas nécessairement notre objectif de 2 %, sans doute pas avant 2025.
La question est toutefois de savoir quand les banquiers se sentiront suffisamment en confiance pour réduire ces taux sans s’inquiéter d’une reprise de l’inflation. Une réaction trop rapide présente le risque d’une reprise de l’inflation, tandis qu’une réponse trop tardive peut entraîner une aggravation des tensions économiques pour les entreprises et les consommateurs, comme vous, qui vous inquiétez du renouvellement prochain de votre prêt hypothécaire. Les taux d’intérêt ont été augmentés dans le but de ralentir l’économie : l’objectif était de permettre à l’offre de rattraper la demande. Cependant, si la tension est trop forte, les consommateurs risquent d’arrêter de dépenser massivement et les entreprises réduiront alors leur production et leurs effectifs, ce qui se traduira par des licenciements. Il s’agit donc d’un véritable défi à relever pour trouver l’équilibre. N’est-ce pas? Nous pensons que la période des hausses de taux est derrière nous et que les données et les progrès en matière d’inflation seront suffisants pour prouver que nous sommes sur la bonne voie pour atteindre l’objectif d’inflation de 2 % et que les banquiers commenceront à baisser les taux, mais peut-être pas avant la mi-2024 à ce stade. Nous constatons donc également un affaiblissement de l’économie, tandis que le marché du travail reste relativement tendu. Les chiffres de l’emploi n’ont pas connu de tels pics et les licenciements ne sont donc pas légion. Nous constatons une certaine réduction des effectifs, une diminution des embauches, et nous estimons que tous ces éléments combinés devraient conduire à une récession moins marquée que ce à quoi les gens pourraient s’attendre.
Chris Cooksey : Dans le dernier épisode, notre collègue Harvey Libby nous avait fait part d’un sentiment similaire en ce qui concerne les taux d’intérêt. Premièrement, je suis ravi que vous soyez sur la même longueur d’onde. Il avait également parlé de baisses de taux, alors diriez-vous que l’on s’attend généralement à ce que les taux baissent? Enfin, ils finiront par baisser de toute façon, c’est une caractéristique des marchés. Ils varient à la hausse ou à la baisse, mais diriez-vous que l’on s’attend généralement à des baisses de taux?
Neil Linsdell : Oui, il s’agit surtout de savoir quand et dans quelle mesure, n’est-ce pas? Si nous nous penchons sur les marchés financiers, et Harvey parlait des marchés à revenu fixe, on s’attend actuellement à cinq ou six baisses de taux en 2024, peut-être dès le mois de mars. Je pense que c’est peut-être un peu optimiste. Je pencherais plutôt pour trois ou quatre baisses de taux, principalement vers la fin de l’année, lorsque certaines données économiques commenceront à être connues. Et tant que l’économie ne subit pas de perturbations majeures et que le chômage n’augmente pas de façon importante, les responsables des banques centrales peuvent se permettre de prendre leur temps pour réduire les taux d’intérêt. Si, à l’inverse, nous commençons à observer des effets plus marqués de la récession (licenciements, ralentissement significatif des dépenses de consommation), alors oui, les banquiers pourraient décider de réduire les taux plus rapidement afin de minimiser les dommages économiques, d’éviter une hausse brutale du chômage et de stimuler un peu plus l’économie. Mais nous ne voulons pas nécessairement que les taux soient réduits pour cette raison. Nous voudrions une normalisation plus contrôlée, ce qui serait préférable pour toutes les parties concernées.Chris Cooksey : À présent, en ce qui concerne les investissements, il est évident que lorsque les taux se situent à un certain niveau, certaines personnes peuvent se détourner du marché et opter pour un revenu plus fixe parce que le taux est suffisant pour eux. Si ces taux commencent à baisser, qu’est-ce que cela signifie pour les investissements? Il suffit de commencer par observer ce qui s’est passé l’année dernière et de l’appliquer à l’environnement actuel, puis de sortir cette bonne vieille boule de cristal, Neil, de bien l’astiquer et de nous faire part de ses prévisions.
Neil Linsdell : Oui, la fameuse boule magique. Vous vous souviendrez sans doute qu’en 2023, nous parlions surtout du S&P 500 et des « sept magnifiques », véritables moteurs de l’indice S&P 500 aux États-Unis. Les « sept magnifiques » en question sont Apple, Microsoft, Alphabet (Google), Amazon, NVIDIA, Meta et Tesla. Ces sept sociétés représentaient donc environ 30 % de la pondération du S&P 500, les 393 autres sociétés se partageant les 70 % restants. Ces actions avaient enregistré des résultats nettement inférieurs en 2022. L’énorme hausse de 2023 s’explique donc en partie par la reprise à la suite de ces pertes. L’intelligence artificielle a par ailleurs suscité beaucoup d’enthousiasme l’année dernière. Vous vous en souvenez probablement et cela a contribué à donner un coup de fouet à ces actions. En tant que groupe, ces actions ont donc augmenté d’environ 85 % l’année dernière, tandis que le reste du marché a progressé d’environ 7 ou 8 %. Ainsi, du point de vue des investisseurs canadiens, si l’on considère les rendements totaux après dividendes pour une bourse investissant dans le S&P 500, vous auriez enregistré un gain d’environ 23 %, encore une fois en raison des « sept magnifiques », alors que l’indice composé S&P/TSX a enregistré un rendement d’environ 12 %. Une grande partie de ce phénomène résulte de la forte reprise qui s’est produite au cours des deux derniers mois de 2023.
Chris Cooksey : Voilà qui est également intéressant : quelques actions sont à l’origine de cette reprise. Si vous étiez un peu moins enclin à prendre des risques, si vous évitiez les noms de sociétés technologiques, votre rendement serait nettement inférieur à 23 %. Je pense que l’on peut affirmer sans prendre trop de risques que l’année 2024 s’annonce un peu plus calme, alors peut-on potentiellement s’attendre à des gains similaires pour cette année?
Neil Linsdell : Tout d’abord, je pense que nous allons assister à un élargissement du marché plutôt qu’à une concentration sur les « sept magnifiques », puisque nous commençons à nous intéresser à l’économie dans son ensemble. Je pense que les baisses de taux suscitent beaucoup d’enthousiasme en ce moment, et beaucoup de confiance dans le fait que l’économie américaine va éviter la récession. Nous sommes un peu plus prudents sur les deux fronts. Si j’estime que le rendement devrait être positif cette année, je pense aussi qu’il sera plus volatil, donc peut-être que des rendements à un chiffre seraient plus raisonnables que ceux que nous avons connus l’année dernière. Cela s’explique par le fait que le marché a connu une hausse au cours des deux derniers mois de l’année dernière et que les attentes sont donc élevées sur le marché boursier. À l’heure actuelle, si l’on prend en compte les prévisions des analystes, c’est-à-dire les prévisions de tous les analystes américains pour toutes les actions du S&P 500, elles s’élèvent à 245 USD.
Notre équipe prévoit environ 225 USD, ce qui est probablement plus en phase avec la pression que nous attendons sur les bénéfices des entreprises lors d’une légère récession, n’est-ce pas? Alors que le consensus serait plutôt en faveur d’un atterrissage en douceur. Les prévisions des analystes ont tendance à être revues à la baisse d’environ 4 % en moyenne au cours de l’année. Il se peut donc que le consensus passe de 245 à 235 USD, ce qui nous rapprochera de notre chiffre. En contrepartie, il ne faut pas oublier que si les marchés financiers sont tournés vers l’avenir, les marchés financiers ne sont pas l’économie et l’économie n’est pas les marchés financiers, mais ils coïncident, et les marchés ont tendance à réagir à l’avance. Même en présence d’un scénario de faible récession, les investisseurs se tourneront vers la croissance possible en 2025 et se montreront plus généreux sur les multiples de valorisation, même si le bénéfice par action est en baisse ou plus réduit. Une réduction des taux d’intérêt s’accompagne d’un taux d’actualisation plus faible lorsque l’on applique ce taux aux bénéfices futurs, ce qui se traduit par des valorisations plus élevées à l’heure actuelle. Nous pensons que cela se traduit par des rendements positifs, mais probablement plus modestes que l’année dernière sur le marché des actions.
Chris Cooksey : En effet, vous avez raison. En ce qui concerne les revenus fixes, la baisse des taux rend généralement les obligations plus attrayantes. Est-ce que c’est le cas pour 2024?
Neil Linsdell : Je vois que vous avez été attentif aux analyses d’Harvey.
Chris Cooksey : Oui, c’est vrai. Mais je ne voudrais pas que ses chevilles enflent! Je me refuse donc à l’admettre.
Neil Linsdell : Oui, l’environnement actuel est vraiment favorable aux titres à revenu fixe. C’est donc probablement mieux que ce que nous avons connu au cours des dix, quinze, voire vingt dernières années. En ce moment, nous avons donc des rendements qui sont proches de ceux que l’on peut obtenir avec des actions prudentes à un moment ou à un autre. De plus, comme vous l’avez mentionné, lorsque les taux d’intérêt baissent, la valeur de ces obligations augmente, car les rendements deviennent plus attrayants dans l’environnement actuel des taux.
Chris Cooksey : En effet, il n’est pas possible de remplacer ces obligations au même taux d’intérêt à ce stade, dans un contexte de baisse des taux.
Neil Linsdell : Oui, il faudrait les payer plus cher, donc leur valeur augmente.
Chris Cooksey : Je vois. Il semble donc que vous soyez assez optimiste en ce qui concerne les actions et les obligations à revenu fixe en 2024. Sommes-nous en train de revenir à l’ancienne situation de portefeuille équilibré de type 60/40? Qu’en pensez-vous?
Neil Linsdell : Je pense qu’il s’agit d’une bonne approche. Tout d’abord, nous savons que les marchés des actions peuvent être volatils, mais ils ont tendance à vous offrir des rendements plus élevés sur le long terme. Le monde connaît de nombreuses tensions géopolitiques. Je pense principalement à l’escalade des tensions et à la guerre entre Israël et le Hamas. Si ce conflit s’aggrave ou s’étend, nous pourrions en subir les effets, la hausse des prix du pétrole pouvant avoir un effet sur la croissance économique et l’inflation. Bon nombre de ces facteurs pourraient représenter des risques à l’horizon. En fin de compte, un portefeuille d’actions bien diversifié détenu sur une longue période profitera aux investisseurs, en particulier dans le contexte actuel des taux d’intérêt. De plus, avec les réductions de taux d’intérêt qui se profilent à l’horizon, les revenus fixes offriront à la fois les rendements plus stables dont nous avons parlé, ainsi que des avantages en matière d’appréciation du capital à mesure que les taux baissent et que les prix des obligations augmentent. Les portefeuilles équilibrés constituent donc probablement une bonne solution. Comme vous le savez, nous avons coutume de dire que votre conseiller Raymond James est la personne qui peut le mieux personnaliser un portefeuille adapté à vos objectifs à long terme et à votre tolérance au risque. C’est donc un meilleur point de départ.
Chris Cooksey : Bien sûr. En guise de conclusion, je crois que votre document annuel sur les perspectives et les stratégies a été publié. Êtes-vous en mesure de nous indiquer quand il sera disponible? Je crois aussi que vous organiserez un webinaire vers la fin du mois. Est-ce exact?
Neil Linsdell : C’est à peu près ça. Nous sommes en train d’achever notre rapport trimestriel sur la répartition d’actifs. Nous prévoyons donc de le publier cette semaine, peut-être même avant la publication de ce balado. Il sera consultable sur le site Web de Raymond James. Nous avons également notre collection de rapports mensuels sur les perspectives et les stratégies. Nous avons commencé par examiner l’électrification en cours, car 2024 sera une nouvelle année électrique. Nous étudierons et explorerons d’autres thèmes de ce type tous les mois. Et, oui, dès que nous aurons publié ce document, nous programmerons une réunion avec les clients pour en parler plus en détail.
Chris Cooksey : Parfait. Comme Neil l’a mentionné, le rapport est disponible sur raymondjames.ca. Vous pouvez également consulter nos médias sociaux où nous ne manquerons pas d’insérer des liens vers ce rapport. Neil, merci d’avoir pris le temps de participer à ce balado aujourd’hui. Vous avez été très instructif, comme toujours, et je me réjouis déjà à l’idée de m’entretenir à nouveau avec vous dans un avenir proche.
Neil Linsdell : Merci. C’est un plaisir d’être ici.
Chris Cooksey : Écrivez-nous à l’adresse AdvantagedInvestorPod@raymondjames.ca. Abonnez-vous à L’Investisseur avantagé sur Apple, Spotify ou tout autre site de balados. N’hésitez pas à communiquer avec votre conseiller si vous avez des questions. Au nom de Raymond James et de L’Investisseur avantagé, je vous remercie d’avoir pris le temps de nous écouter aujourd’hui. À la prochaine fois, portez-vous bien! Ce balado est présenté uniquement à titre informatif. Les données statistiques, factuelles ou autres proviennent de sources que Raymond James Limitée (RJL) croit fiables. Toutefois, nous ne pouvons en garantir l’exactitude. Raymond James Limitée n’assumera aucune responsabilité en ce qui concerne l’utilisation de ces renseignements. Le présent document a pour but de fournir de l’information générale; les renseignements qu’il contient ne doivent pas être considérés comme une offre ou une sollicitation visant la vente ou l’achat d’un produit ni être interprétés comme des conseils fiscaux. Les conseillers Raymond James ne sont pas des conseillers fiscaux, et nous recommandons aux clients d’obtenir l’avis d’un professionnel indépendant concernant les questions d’ordre fiscal. Les produits et services liés aux valeurs mobilières sont offerts par l’intermédiaire de Raymond James Limitée, membre du Fonds canadien de protection des investisseurs. Les produits et les services liés à l’assurance sont offerts par l’intermédiaire de Raymond James Financial Planning Ltd., qui n’est pas membre du Fonds canadien de protection des investisseurs.